La francophonie canadienne au XXIe siècle: vision du pays ou vision minoritaire?

La francophonie canadienne au XXIe siècle: vision du pays ou vision minoritaire?

La francophonie canadienne au XXIe siècle: vision du pays ou vision minoritaire?

Une allocution de Jean-Louis Roy à l’occasion de l’ouverture des rendez-vous de la Francophonie, Cour suprême du Canada

(La version prononcée fait foi)

Ottawa, le 13 mars 2010

Monsieur le Président, Madame et Monsieur les juges, Mesdames et messieurs, Chers amis,

Je vous suis infiniment reconnaissant pour votre invitation à prononcer l’allocution d’ouverture des Rendez-vous de la Francophonie, édition 201O.

Je suis un peu intimidé de me trouver devant vous. Je ne suis pas juriste même si jadis j’ai souhaité le devenir. Mais en ce temps-là, le Québec n’acceptait pas les baccalauréats

« étrangers ». Le mien m’avait été accordé par une université acadienne de la Nouvelle-Écosse, l’Université Sainte-Anne. En conséquence, j’ai essuyé le refus de la Faculté de droit de l’Université de Montréal.

À défaut de pouvoir faire des études en droit, je me suis retrouvé étudiant en philosophie et en histoire.

Paradoxalement durant toute ma vie professionnelle, j’ai été titulaire de mandats à fort contenu juridique dont récemment la présidence de l’institution Droits et Démocratie, qui était alors un formidable levier de la meilleure offre canadienne dans le monde.

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