La première partie de l’ouvrage recherche les causes du choc encaissé par le fédéralisme canadien pendant la révolution tranquille. La seconde décrit et analyse les tentatives de renouvellement du système fédéral durant la période 1967-1971. La dernière partie retrace les principaux événements « qui ont marqué l’évolution de la crise constitutionnelle canadienne entre 1971 et 1976 ». Jean-Louis Roy voit dans le refus du Canada anglais de reconnaître la collectivité québécoise comme nation la raison majeure de la crise actuelle.